L'autobiographie d'un Ipod SuffleA Story by RimLe périple d’innovation A l’usine fabuleuse d’Appelle
en Californie : J’ose observer ce qui m’entoure dès mon réveille dedans un paquet fabuleux où j’ai eu rencontré ma famille coloré. J’étais au capital d’innovation juste au milieu d’une
circulation harmonieuse de mes cousins
Ipod Touch et l’Ipod Nano ; Le grand écart entre nous m’a captiver envers ma ethnie . Malheureusement, la découverte de mes origines s’est interrompue par le faite d’une séparation
structuré de mes biens aimés. Avec un clin d’"il, je me suis transporter typiquement
vers le sud de koréa ; ce voyage
par l’avion avait un reflet magique sur moi ou je viens de m’endormir. Des frappements intensifs sur mon abri (le paquet) me
réveilla de mon sommeil en
retrouvant un Titan devant moi. J’étais
suffisamment brave d’affronter seul
celui-là. En fait, j’ai réalisé que j’avais des anticipations fausse sur
lui. D’ailleurs, il
m’enleva juste pour m’explorer en cliquant sur mes chers
propres boutons. Ce qui est absurde que cette idiote-là n’a même pas lu les
instructions. Après tout je n’avais pas le choix en dépassent les frontières
pour être chez lui. C’était évident qu’il appuya fragilement sur son cerveau
pour obtenir la métamorphose de ma langue maternel en me connectant à un PC. Maintenant
je m’exprime en coréen avec une telle intense fluidité. J’estime que j’avais la chance de mieux connaitre ce
Titin qui m’a nommé « Simon ».
Quant à moi c’était une relation fondé sur
l’accompagnement éternel. Comme d’habitude
en m’emmènent avec lui à sa
course matinal ce jour-là, ou il a perdu
mes earphones et m’a instinctivement brancher à d’autres d’origine Nokia. Celles-ci, a perturbé ma pure fonctionnalité en
m’endommageant comme un virus contagieux. Seule la music que j’avais sauvegardé été l’instrument par le quelle je pourrai exprimer ma mélancolie singulière en sélectant les paroles suivantes d’une chanson qui s'est imprimé à ma mémoire: « Comment tu oses broyer ma dignité ? Comment t’a eu l’audacité de détacher mes gouttes de
souffles ? Comment t’a eu la culpabilité de se débarrasser de moi ? T’a trembler mon
identité en me supprimant, Derrière cette évidente équité tu caches l’injustice, Je vois l’imposteur qui m’a triché tout le temps Selon quels concepts tu te bouges ? A l’Autriche tu triche, Au boulevard tu bavarde, Tes moqueries ne le sont qu’une comédie, Le tame d’âme n’est qu’une ambition flottante. » La chanson n’atteignait
pas sa fin, puisque j’étais en train de tomber verticalement, En rejoignent la terre plate par l’effet du gravité
intensif, Je n’arrive pas à sentir la cassure violente de ma
texture Sûrement, j’été alerté
par la conscience d’être la victime de mon silence brusque en meurent en ralenti. © 2014 Rim |
Stats
132 Views
Added on August 31, 2014 Last Updated on August 31, 2014 |