Emprisonne ToujoursA Story by MeratheRestlessTu ne peut pas échapper à un carcérales sans barreaux.C’était le soir. J’étais avec ma soeur,
dans le salon de notre maison famille, écouter la dernière tirade de notre père.
Pour un change, je n’étais pas sa cible principale. Déjà, il voulait m’étrangler,
par suite d’une source anonyme, qui osé soutenir les détails pas si glamour au
sujet de mon vie, avant j’étais contracté être un athlète professionnel. Au du
moment, je n’étais importante pas quoique. « Pourquoi n'as-tu pas différend
les allégations de ton frère plus vieux ? Tu n'es pas ma fille ! Tu es un
informateur de la police, une traître ! Tu dois dis qu'il est fou, et un menteur
! Que vous avez un père très bon et il est juste gâté ! Me comprends-tu ? »
Mon père hurla à ma soeur. « Ouais, mais... » Elle répondit timidement. « Je ne serai pas faire là. » Il fut stupéfait. « Tu es dis
'Non' à ton père ? Ma petite, sais-tu ce que tu dis ? Je ne crois pas ! Ainsi
j'ai tu demandes encore…Comprends-tu ce que ton papa attend de toi ? » Même j'étais stupéfaits, car en
presque dix-huit ans...je ne l'ai entendu jamais dire 'Non' à notre père ou
n'importe qui. Elle parlait très rarement, d’une voix passive toujours, dépourvu
de confidence complètement. Normalement, j'étais nos voix. « Je ne serai pas faire là. »
Elle répéta tranquillement. « Je ne crois pas qu'il soit fou. Je sais
qu'il n'est pas fou. Et vous savez
aussi. Si vous nous aimez tellement vraiment, puis vous ne seriez pas traitez
nous de cette manière. » Il regardait nous deux, un a la
fois, avec une expression d'incrédulité. Puis secoua sa tête lentement et
disait froidement, « Vous pensez que je ne vous aime pas ? Vous pensez que
je vous ai toléré pendant quatorze ans hors de pénitences ? Pour bénéfices ? Bien sûr
non ! J’ai souffert beaucoup, élever des enfants, par moi-même. Des enfants que je ne voulu jamais. Mais qui le ferait, si je
n'avais pas ? Personne ! La famille avide raciste de votre mère aux Etats-Unis
? Ils voulaient des argents seulement ! N'avaient rien à foutre au sujet de
votre mère, et sans aucun doute, ni ses bâtards métis ! » Il gagnait, et il le savait. "Je devrais avoir abandonnais
vous dans les institutions, quand votre mère est morte. Vous êtes tellement ingrats. Les
meilleures écoles, la meilleure résidence dans un quartier magnifique de la
ville, les meilleurs traitements psychologiques, les meilleurs jouets,
nourritures, et vêtements…tous les nécessaires pour des enfances excellente ! »
Il continué. « Alors pourquoi n’étiez-vous pas heureux ?>> Encore, ma soeur plus jeune parlait
et nous étions étourdis. « Oui…vous avez fait donner nous nombreuses
choses chères dans nos vies, mais…. Les choses ne sont pas l'égaux que l’amour. Vous
nous avez contrôlés. Vous nous drogué. Vous nous manipulés. Vous nous abandonné aux
institutions psychiatriques. Nous vous voyions rarement, mais vous vaincu nos âmes et continuer
à nous forcer à rester soumise,impuissants… » Ses mots était peu nombreux, mais très puissants. Elle disait ce que j’ai voulu dire, mais ne pouvait jamais. « L’amour n’a pas un couleur, papa cher, ou mon frère et moi ne serait pas existé manifestement. Pourtant votre amour pour notre mère n'inclus pas jamais des enfants, meme vos propres. J’ai vécu quatorze ans, depuis l’âge de quatre ans quand ta femme est morte, sous ta tyrannie. Vous êtes le père de ne personne. Nous ne sommes pas psychotiques…vous êtes. Pourquoi nous tolérions pendant tant d’années sans murmure ? Car vous tordu nos esprits, nous étions isolée, drogué nous, et nous ne savions pas autre vie. N’amour parmi nous trois, contrôle et dominance seule. » Elle conclut sans une fois élever sa voix. Je la regardais
admirative. Encore imminente
sur nous, notre père ricane sombrement. « Alors…mes enfants croient qu’ils
ont, depuis ils sont devenu les adultes jeunes, qu’ils sont libres dire et
faire tout ce que leur plait ? Ils ont pouvoir choisir et décider? » Sa voix semblait amusé, toutefois son expression était menaçant. Ma soeur et moi a
partagé un regard confus et inquiet. « Tout à
fait, je vais dire vous comme je disais votre mère de nombreuses fois pendant
notre relation…si je ne peux pas avoir vous…tous de vous…personne peut avoir
vous. » Il dit lentement et effroyablement, ses yeux noisette, flamboyants.
« Me comprenez-vous ? » Aucun de
nous répondrions, ni pouvions regarder lui. Un autre
sourire. « Alors,nous
nous comprenons, je vois ? » Ouais,
nous comprenions qu’il était un dément homme, qui serait aime nous à mort,
comme il l’avait fait à notre mère. Nous comprenions qu’il n’y a pas d’échappatoire de lui. Nous comprenions impuissances véritables. Où allez-vous
quand il n’y a nulle part ailleurs cacher et aucunes évasions ? Où des
enfants courent…vers la familière.... indépendamment de si maison est un enfer. « Nous
nous comprenons, maintenant, je suis certain. » Papa dit enfin. « Et
nous avons appris quelque chose aussi ? » Après quelques
moments, il insisté. « Je dois ai une réponse. En Français, pas anglais.
Nous nous comprenons et nous avons appris quelque chose ce soir aussi ? »
« Oui,
Papa. » Nous cédions. « Et
nous apprenions quoi ? » Il poussé. « Papa seul sait ce qu’est le meilleure pour nous. Seulement,
Papa nous adore, et inversement. Et tout le reste est mensonge» Je disais exactement quoi je savais qu’il voulait entendre. « Tu ne sembles pas convaincu au sujet de que tu dis. Tu sembles peur, mon enfant cher....comme cela devrait être. Bonne nuit, et À demain matin, mes petits chers. Ton père vous souhaite avoir des sommeil agréables. » Il bâille satisfaite. Je ne
serais jamais libre de sa tyrannie. © 2016 MeratheRestless |
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Added on July 24, 2016 Last Updated on July 24, 2016 AuthorMeratheRestlessNDAboutReally there's not much to tell. I study in university, work a part time job, go to Kingdom Hall twice a week, out preaching at least twice per month, and spend the rest of my time at home. Don't like.. more..Writing
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