Ses Chaines Ont Été BriséesA Story by MeratheRestlessUn basketteur professionnel jeune doit libérer se de la tyrannie de son père.« N’agissez, comme si nous ne
sommes pas ici. » Attente d’une réprimande, je trouvé insupportable. « Vous avez dit ‘Asseyez-vous, tais-toi,
et ses comporter vous-mêmes.’ Alors nous asseyons et attendrons. » Mon père levé ses yeux de son
ordinateur portable. « Attendre quoi ? » « Pourquoi vous nous appelai ? Gronder
et crier bien sûr ! » J’ai fatigué de ses jeux d’esprit. « Commençons
déjà !» « As-tu eu tes pilules ce soir ? » Il était imperturbable. « J’ai tous deux mes enfants chez moi avec papa ce soir. Je suis en un bon humeur en ce moment, alors vous pouvez calmer. N’as-tu jamais pensée que ton père a manqué ses enfants quand n’ici ? » « Peut-être qu’on ne veut voir
vous… particulièrement quand tu penses que ton papa tu déteste. » Nous tous regardions ma soeur plus jeune, car elle parlais très rarement. Papa
sourit un peu. « La petite souris peut parler ! Et si ton papa ne dit
pas qu’il tu déteste, pourquoi tu penses ? Non, non, c’est ridicule !
Le père ne déteste jamais ses enfants. Au contraire, il adore eux. Crois-tu mes
mots ? » Elle secoua sa tête. Il soupira
défaite. « Qui est votre
préfère ? » J’ai demandé aléatoirement. On doit seule voit ses yeux savoir
la vérité. Un regard de tendresse pour sa fille chérie et docile. Pour
moi ? Un regard d’avertissement et agacement. Ses yeux noisette étaient
injectés de sang. « Ton papa adore fois de
vous. » Il parlait durement. « Comprenez ? Il n’y a aucun
préfère ! » Après une longue pause, continuait
un peu plus posé. « J’apprécie passer les temps
avec mes enfants, même s’ils sont devenus les adultes jeunes. » Il a insisté.
« Tu, mon fils, tu étais en l’Etats Unis pour trois semaines pour
l'entraînement sportif et n’appelait pas ton papa une fois ! N’as-tu
pas manqué ton papa ? Ta soeur ? Ton domicile ? Ta
patrie ?» Immédiatement, je savais le
problème. « J’ai la double citoyenneté, ici et dans l’Etat Unis. »
J’argumenté et n’admettrais pas ma faute. « Ma mère étais une Américaine
noire. Avez-vous oublié votre femme morte ? Si la mère est Américaine, ses
enfants aussi. » « Un mensonge ! Tu es né et vit ta
vie entière, vingt ans, à Europe ! Tu es un Européen, n’Américain ! »
Mon père hurla. T’as renié ton père……ton patrimoine…tout ! » « Car je n’admettrais pas dans
les médias que j’avais la double citoyenneté, né à Europe, et peut parler plus
des langues que l’anglais ? » Je cédais. « Et ton père est riche et tu n’as
jamais voulu pour rien ! Tu vécu jamais dans les banlieues pauvres!» Papa ajouté. Je levai mes yeux. « Alors
quoi ? » Il était ennuyeux moi. « Tu as habitude de mentir et
je suis l’habitué tes mensonges, mais tu ne peux pas mentir a toute le monde. » « Alors quoi ? » Je
haussais. « Tu es un gosse corrompu, qui
croit peut faire ce tu veux, sans conséquences ! C’est ma faute…… »
Il leva les mains en une signe de défaite.
« Je peux faire tout que je
veux. Je suis un adulte. Qui va m’arrêter ? » Je me suis senti
très courageux pour les raisons étranges.
« Pas tu. Tu n’es pas mon père plus.» Il s’est levé. Traverse la chambre lentement et
délibérément. Mon père était grand, mais j’étais
plus grand…et plus maigre. Alors pourquoi j’étais peur de
lui ? Il m’a giflé au visage…fort. Je ne peux pas croire. « Si je l’avais fait pendant
tes enfance…tu aurais un peu de respecte pour ton père. » Sa voix était
sans remords. « Vous n’avez jamais !
Vous n’avez jamais ! » J’étais indigné. « Jamais quoi, mon gosse
insolent ? » « Frappé moi ! » Le
choc a été fort. « Encore…je n’ai l’entendu
pas. Je n’ai jamais quoi ? » « Frappé moi ! Vous nous
n’avez jamais frappé, Papa ! » J’admettrais. « Pourquoi
maintenant ? » Un peu sourit dans son visage. « Étourdir et forcer tu dire la vérité
au sujet de ton passé. Voilà…tu as admis
que tu as un père et je jamais tu frappé. Tu as prouvé que peux parler français
parfaitement aussi et tu n’es pas un Américain. » Un autre son jeu d’esprit. Papa a pris la caméra nounou qu’a
existes depuis ma mère morte quand j’étais un petit garçonnet et une femme
arabe est devenu notre soignant, partir de la cachette, avant qu’il quitte la
chambre. « Papa vous adore, mes
enfants chéries. Bonne nuit et je vous souhaite des rêves agréables. » Au matin, tout le monde connaîtra…au
sujet de mon enfer privé. Je serai la risée de sport
professional. J’ai tourné vers ma soeur cherchait
soutien et trouvé rien. « Pourquoi as-tu menti ? Il nous n’a frappé jamais ! Hurla ? Oui ! Il nous contrôlée ? Ouais, bien
sûr ! Mais…ne frappé jamais. Se plaindre ? Nous n’avons aucun
droit. » Elle raisonnait et
défendait lui. « Nous avons un père très bon… » Cerveau lavé totalement ! Elle avait vécu quatre ans de sa
vie avec notre mère et presque quatorze ans sans, par conséquent elle croyait que
notre père était a la même niveau avec Dieu. Je pouvais presque vois les ficelles
attachées à son corps. Elle ne serait jamais normale. La marionnettiste avait
déformé son esprit. Je ne pouvais pas la sauver……mais
pouvais m’aider. Pour un prix. « Fillette… » Je
gémissais avec larmes dans mes yeux. « Sais-tu que je t’adore,
correcte ? Tu es ma petite soeur. J’espère que tu vas
comprennes. » J’essayé être
miséricordieux…vraiment. Elle n’a pas crié. « Papa !
Papa ! Où êtes-vous ? Je suis désolé ! Vraiment ! Vous
avez raison comme d’habitude et je me trompais comme d’habitude. » J’appelais
à mon père. Bien sûr, savais exactement, ce
qu'il veut entendre. Les mots plus importants, je sauve pour la fin…quand je
lui vois et il me voit. Enfin, il appelait au couloir et
m’invité entrer sa chambre couche. L’idiot…il croyait que je veux
embrasser lui et demande son pardon ! Son regard quand il vu moi….pleine de trahison et furie. « Papa….je vous adorais beaucoup quand j’étais un petit garçonnet, moins que ma mère , mais encore beaucoup. Maintenant je dois être libre de vous. La marionnette doit être libre de la marionnettiste. Vous n’êtes pas mon père, plutôt la marionnettiste …Bon Nuit. » Par le prochain soir, médias
sportifs américains connaîtrait tous mes véritables origines.
Personne ne savait ou réalise,
que j'avais enfin brisé mes chaînes
invisibles. Ou qu le sang des mon père et ma soeur est sur mes mains. © 2016 MeratheRestlessAuthor's Note
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StatsAuthorMeratheRestlessNDAboutReally there's not much to tell. I study in university, work a part time job, go to Kingdom Hall twice a week, out preaching at least twice per month, and spend the rest of my time at home. Don't like.. more..Writing
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